2018/05/17
Avec 13,3 millions d’individus en 2016 versus 7,3 millions de chiens*, les chats sont confirmés dans leur rôle d’animal de compagnie numéro 1 des Français. Ces dix dernières années, leur population a augmenté d’un tiers alors que, parallèlement, la population de chiens diminuait.
Un animal plébiscité…
Plus petit, plus autonome, moins contraignant en termes de sorties et d’entretien, le chat possède tous les atouts pour séduire les Français et supplanter le chien dans leur foyer. Et c’est chose faite puisque 30 % des foyers possèdent un ou plusieurs chats**.
Si on ajoute aux possesseurs les personnes qui aimeraient posséder un chat, la proportion grimpe à 50 % des Français !
La majorité des propriétaires de chats vivent en milieu urbain, un autre avantage de cet animal qui supporte de vivre en appartement, sans forcément accéder à l’extérieur.
…et de plus en plus médicalisé
Considéré comme un membre de la famille à part entière, le chat est adopté d’abord pour la compagnie quotidienne qu’il procure. Dans plus de la moitié des cas, il provient de l’entourage du propriétaire.
Cet engouement pour les chats est allé de pair avec leur médicalisation croissante. Ainsi, près de 60 % des propriétaires consultent leur vétérinaire au moins une fois par an.
Dans près de 70 % des cas, cette visite est motivée par un besoin en vaccination. Visite de contrôle, achat d’antiparasitaires, stérilisation sont d’autres motifs fréquents de consultation chez le vétérinaire, preuve que la prévention est devenue une préoccupation prioritaire des propriétaires de chats.
Effet direct de cette meilleure prise en charge médicale, 92 % des vétérinaires constatent que l’espérance de vie moyenne des chats a augmenté ces dernières années. Elle est aujourd’hui de 15 ans en moyenne.
*Source : enquête Facco/Kantar TNS 2016.
** Source : étude Royal Canin sur les Français et leur chat, issue de l’analyse croisée de plusieurs enquêtes : l’enquête bisannuelle de la Facco, deux études Ipsos pour mieux comprendre les Français et leur chat, ainsi qu’une étude réalisée auprès de vétérinaires et assistantes vétérinaires sur la base de 1 400 répondants.